Rien de nouveau sous le soleil : les garçons apprennent, depuis toujours, à réprimer leurs émotions pour répondre aux stéréotypes de genre. « Un garçon, ça ne pleure pas. Sois fort! », donne en exemple la journaliste Liz Plank, dans son essai Pour l’amour des hommes. Le livre, traduit et publié aux Éditions Québec Amérique, met en lumière les dangers de « la grande répression », liée à la masculinité toxique.
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