Découvrez le quotidien de moines et des moniales grâce aux magnifiques images de Guillaume Gorini. Pour lire ma chronique Le silence au cœur des villes, cliquez ici. Le Sanctuaire du Saint-Sacrement est situé sur l’avenue Mont-Royal, à Montréal. Photographe : Guillaume Gorini Les Fraternités Monastiques de Jérusalem (FMJ) sont nées le 1er novembre 1975, à la messe de la Toussaint. Photographe : Guillaume Gorini Les communautés religieuses sont présentes notamment en Italie, en Belgique, en Allemagne et en Pologne. Photographe : Guillaume Gorini Aujourd’hui, les moines et les moniales des FMJ rassemblent en leurs rangs plus de 30 nationalités différentes. Photographe : Guillaume Gorini Les frères et sœurs de Jérusalem ont pour vocation particulière de « vivre au cœur des villes, au cœur de Dieu ». Photographe : Guillaume Gorini Les moines et les moniales de Jérusalem tentent de s’insérer autant que possible dans la réalité citadine. Photographe : Guillaume Gorini Les religieuses vivent au rythme de la ville et de ses salariés, alliant à une vie de silence et les exigences du travail à mi-temps pour payer leur loyer et leur nourriture. Photographe : Guillaume Gorini Après l’Office du milieu du jour, les moniales se dirigent vers le réfectoire pour partager le repas. Photographe : Guillaume Gorini Soeur Marie-Élisabeth a préparé le pâté chinois.. Photographe : Guillaume Gorini « La charité prévaut sur tout » – Soeur Arlette. Des invités peuvent se joindre ponctuellement au repas des moniales. Photographe : Guillaume Gorini Aucune conversation n’anime la tablée durant les repas. Le silence est toujours privilégié dans la maison des moniales. Photographe : Guillaume Gorini Au dîner, deux religieuses lisent un passage de l’Écriture Sainte. Photographe : Guillaume Gorini « Avoir un environnement plus silencieux aide à rentrer en soi. Mais aussi de pouvoir, en soi, entendre Dieu » – Sœur Élisabeth Photographe : Guillaume Gorini Après le repas, les soeurs se lèvent à tour de rôle pour faire la vaiselle en silence. Photographe : Guillaume Gorini Les moniales travaillent pour payer leurs factures. Les paies sont remises à la communauté. Elles ne possèdent pas individuellement de compte bancaire . Photographe : Guillaume Gorini L’Oratoire est le lieu de prière à l’intérieur de la maison des moniales. Photographe : Guillaume Gorini Mon nnom est inscrit sur la porte de ma « cellule ». Photographe : Guillaume Gorini La chambre étroite et dépouillée des moniales est strictement personnelle. Photographe : Guillaume Gorini L’Oratoire est magnifique avec ses pierres incrustées. Photographe : Guillaume Gorini Les ouvertures des fenêtres givrées ont été conçues pour apercevoir des éléments de la vie urbaine. Photographe : Guillaume Gorini La rue Pontiac est visible à travers les fenêtres givrés. Photographe: Guillaume Gorini Pour lire la chronique: Le silence au cœur des villes, cliquez ici. 9 Auteure Ge J'adore raconter des histoires! Souvent comme journaliste, ici comme chroniqueuse. Website Facebook Twitter Instagram LinkedIn Articles liés Masculinité toxique : l’isolement tue les hommes 7 décembre 2021 Pandémie mondiale : restons debout 30 mars 2021 Culture du viol : de mères en filles 11 mars 2021 Écrire un commentaire Cancel Reply Δ Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.